Autour du Livre Saturday 17th September
It is crazy of me to go to this Book Fair because I write in English and it’s impossible to sell my books after all everyone else who visits and participates, reads, writes and buys French books. All the same, I’ve been going for a number of years now – since 2017 when I had only written two books – The Shaping of Water and The Tin Heart Gold Mine. I think this may be my fifth time and, given the gap caused by the Covid lockdown, that represents a long commitment, both from me and those who organise it and who, over time, have been friendly and supportive of me.
The only writer in English
On this occasion I was, for the first time, the only writer in English. I have, however, written another five books and the most recent one Dust and Rain: Chipo and Chibwe save the Green Valley has been published by Gadsden Publishers in Zambia. On the plus side, my French has improved, I’m now a French citizen and, though my sales are no better, I enjoy the Salon du Livre more and more and love talking to the other writers and poets who take part. This post is, in fact, a long thank-you to some lovely people.
So many grateful thanks to make
There is Magali Charron, the president of the Salon, who also came to the launch of my memoir, When I Was Bad. There is Nathalie Curiel of the super bookshop La Litote who hosted that book launch and who has generously stocked my books. There is the marvellous Marie-Françoise Saint-Laurens whose conversations about books, literature, politics and feminism, I love to join. Marie-Françoise works with the Editions Livres en Bigorre that publishes local writers with the support of the department of the Hautes-Pyrenees. It is a wonderful idea! There are the poets I meet and the writers I talk to. I think we are a community of enthusiasts who share knowledge and information, rather than a group of competitors. The business of attracting readers and finding buyers remains, as ever, tough.
Still crazy after all these years
As I said, I’m crazy. Not only do I write in English, but I write about my part of Africa – I am British – not English, a new migrant to France and an African with a confused and confusing past who is still confused about where I belong, but certain that my books have a place and make an important contribution to my world. Marie-Françoise tells me that what she likes about my books is that I don’t claim to belong to one place only.
La gentillesse des créatifs les uns envers les autres
Herewith a translation of the post above.
Autour du Livre samedi 17 septembre
Je suis folle d’aller à ce Salon du Livre car j’écris en anglais et il est impossible de vendre mes livres quand tous les autres qui participent et visitent, lisent, écrivent et achètent des livres français.
Cela fait tout de même plusieurs années que j’y vais – depuis 2017 alors que je n’avais écrit que deux livres – The Shaping of Water et The Tin Heart Gold Mine. Je pense que c’est peut-être ma cinquième fois et, compte tenu du décalage causé par le confinement du Covid, cela représente un long engagement, tant de ma part que de celle de ceux qui l’organisent et qui, au fil du temps, m’ont apporté leur amitié et leur soutien.
À cette occasion, j’étais pour la première fois le seul écrivain en anglais. J’ai cependant écrit cinq autres livres, dont le plus récent, Dust and Rain : Chipo and Chibwe save the Green Valley a été publié par Gadsden Publishers en Zambie. D’un autre côté, mon français s’est amélioré, je suis maintenant citoyenne française et, bien que mes ventes ne soient pas meilleures, j’apprécie de plus en plus le Salon du Livre et j’aime discuter avec les autres écrivains et poètes qui y participent. Marie-Françoise me dit que ce qu’elle aime dans mes livres, c’est que je ne prétends pas appartenir à un seul endroit.Ce ‘post’ est en fait un long remerciement à des personnes merveilleuses.
Il y a Magali Charron, la présidente du Salon qui est aussi venue au lancement de mon mémoire When I Was Bad. Il y a Nathalie Curiel de la super librairie La Litote qui a accueilli ce lancement et qui a généreusement stocké mes livres. Il y a aussi la merveilleuse Marie-Francoise Saint-Laurens, avec qui j’aime converser sur les livres, la littérature, la politique et le féminisme. Marie-Francoise travaille avec les Editions Livres en Bigorre qui publient des auteurs locaux avec le soutien du Département des Hautes-Pyrénées. C’est une idée formidable!
Il y a les poètes que j’ai rencontrés et les écrivains avec lesquels je discute. Je pense que nous sommes une communauté de passionnés qui partagent des connaissances et des informations plutôt qu’un groupe de concurrents. Le métier d’attirer des lecteurs et de trouver des acheteurs reste plus que jamais difficile.
Comme je l’ai dit, je suis folle. Non seulement j’écris en anglais mais j’écris sur ma partie de l’Afrique – je suis Britannique – pas Anglaise, une nouvelle migrante en France et une Africaine a un passé confus et déroutant qui ne sait toujours pas où est ma place, mais qui est certaine que mes livres ont une place et apportent une contribution importante à mon monde.
Traduit avec www.DeepL.com/Translator (version gratuite) (et John Corley)
One Comment on “The kindness of creative people to each other”
Such a lovely pic of you and your books, Ruth!